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HoriZon

VIP-Blog de -_touareg_-
misterhorizon@live.fr

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  • Créé le : 21/01/2006 23:48
    Modifié : 02/12/2017 13:48

    Garçon (0 ans)
    Origine : Planète terre
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    regain

    08/10/2008 10:41

    regain


    .. mes cris, mes râles ne sont..

    toi l'étrangère.. rebelle dans tes quartiers..

    gardée jalousement au creux de mes mains.. parfumées de toi..

    je ne le saurais jamais..

    ce passé dépassé.. tous ces mots, ces écritures, ces pensées, ces souvenirs.. me forcent à revenir sur ce chemin.. trépassé je croyais..

    jusqu'à ce que.. examinant my life me suis laissé penser.. dans le fin fond de ce cerveau, où l'encre rouge booste mon énergie, faisant battre ces artères prisées par le temps..

    merde ! putain ! qu'est ce que j'ai vieilli.






    UtOpiA

    08/10/2008 10:40

    UtOpiA


    .. quand j'écris, ma tête émet ces sons que j'aime plus que tout au monde, ce refrain si doux.. secret de cette conduite.. quand j'écris, mes sens tant en alerte se reposent, ferment leurs yeux et s'endorment au creux de mon coeur.. les hommes pensent autre chose de ceci.. pensant que ma raison les épargnera, eux, les misérables, eux que j'ai Zapé depuis.

    Quand j'écris ces choses imprégnées, ces traces incrustées au fin fond de mes iris, ces moment que nous tous avons au fond de soi, au plus profond de notre âme, mon corps s'étire, je m'illumine de tout ces souffles parcourant cet épiderme devenant plus fort.. fractionnant mes secondes, terminant un parcours que je n'ai pas commencé tant grignoté pourtant.


    Quand j'écris je vole vers les autres, les emportant pour les déposer sur une terre plus fertile, plus humaine.. plus chaude pour eux.. les enveloppant de ma chair les protégeant de ce monde cruel à leurs yeux mais si intense de beauté à mon goût.

    L'encre se mêle de larmes.. quand j'écris.. mon désespoir s'enfuit loin devant moi attendant sur un autre versant celui que j'ai oublié de fermer.. cette porte qui vous tient dans ses griffes, vide de chaleur.. quand j'écris, mes mains s'agitent au grè des sons.. mes doigts font ce que ma tête dicte.. ils obéissent comme ayant jurés de dire, de faire....

    quand j'écris !






    .. LiGnE RoUgE .. tome I

    07/12/2007 22:14

    .. LiGnE RoUgE ..  tome I


    Le soleil était écrasant. Des dauphins jouaient en frôlant nos jambes s'éloignant pour piquer et refaire surface d'un fond sans fin. Vertigineuses scènes engloutissant ces grands poissons. Silence noyé de petits clapotis, les requins n'étaient pas vraiment loin. Les ailerons tranchaient majestueusement la surface de l'eau comme un couteau. Etonnante vision dans un décor semblant paisible trop paisible. La mer était d'huile comme à son habitude. Ce cher océan dénommé indien. Les requins n'attaqueraient pas. Du moins ils ne s'approcheraient pas, juste une provocation le signal d'une présence de ces impressionnants mangeurs d'hommes ( requin blanc ). Les dauphins étaient là nous étions sans crainte. J'avais déjà vu un dauphin s'en prendre à un requin, j'étais serein..

    Une belle matinée s'installait.. un ciel éclatant de luminosité parsemés de çi de là quelques blancs nuages.. les odeurs étaient moribondes à certains endroits.. des carcasses d'animaux laissés dans des coins.. puanteur dans les rues.. le moyen âge.. j'avais vu ca dans des livres le cul assis dans une école de mon enfance, énième école pour moi.. rêvant à je ne sais quoi.. Non loin de là, accoudée à une balustrade faite de bois pourri, se trouvait une jeune femme parée dans un magnifique chiffon de couleur rouge vert et orange.. la chevelure tressée et brillante par moment.. un visage reflétant une peau noire à la note cuivrée.. en somme, une jolie femme.. enfant.. l'africaine était seule.. un regard de braise sur des yeux sombres tracés comme ceux d'une biche.. étincelant sur cette peau dessinée pour elle comme un tissu de soie habillant un bijou; son visage.. je distinguais des balancements de sa tête en ma direction.. il me semblait qu'elle tentait vainement de me faire comprendre quelque chose.. ../..              






    .. LiGnE RoUgE .. tome II

    07/12/2007 22:13



    ../.. je m'avancais sans m'approcher d'elle. Nous étions séparés d'une ligne imaginaire qu'elle connaissait.. une ligne tracée dans la tête des hommes séparant les taudis des étrangers.. nous étions au courant de cette fameuse ligne parce que des anciens nous en avaient parlé.. ne la comprenant pas, je regardais en direction de l'africaine et lui souriait.. trop risqué d'aller vers elle.. je le pensais puis les autres ne sont pas revenus.. de là-bas.. disparus, volatilisés.. jamais revenus.. Je lui ai décoché mon plus beau sourire et dit dans une langue étrangère à ses ouïes que je ne pouvais aller vers elle je n'en avais pas le droit et même presque peur sans lui dire tout en gonflant ma poitrine..

    Femme enfant au corps parfait traînant à ses pieds son histoire, ses malheurs.. misérable.. seule la beauté, elle tenait dans ses mains.. ses vêtements d'un âge perdu flottaient dans un subite semblant de brise.. sa chevelure raide était collée à son crâne figée par les années.. Chaude très chaude matinée, les dauphins étaient partis.. le soleil toujours aussi présent commencait à me brûler la peau alors en extase devant cette toile signée par des maîtres de guerre. Je contemplais et le mot est faible cette femme enrubannée de tant de tissus devenus chiffon lorsqu'elle a tout perdue. Peut-être elle avait été princesse dans un royaume caché par les brumes des dunes juste derrière des buissons entre terre et mer.. palais des mille et une horreur.... ../..






    .. LiGnE RoUgE .. tome III

    07/12/2007 22:12



    ../.. perdu une fraction de seconde dans mes pensées je refis surface et réaperçu cette même femme enfant au même endroit.. elle était encore là à me regarder maugréant des mots à elle.. ne comprenant pas les miens ou fit semblant de ne pas les comprendre.. toujours avec cette frimousse à faire craquer un curé sur des dents éclatantes.. contraste éblouissant me pressant de ses yeux.. J'aurai du m'en douter et saisir ce cri qu'elle m'adressait de son regard.. j'ai été con et m'en suis voulu mais qu'est-ce que j'aurai pu faire sans risquer sa peau et la mienne? rien! Ce message que je n'ai pas reçu car trop pris dans mon jeune âge d'européen à la fine bouche.. je venais d'un pays où les pauvres étaient pauvres et les riches très riches.. je venais d'un pays où je n'avais vu de mes yeux des êtres aussi pitoyables de pauvreté, d'un pays où les hommes avaient de quoi manger pour certains.. d'un pays où jamais la guerre n'a perturbé mon existence.. d'un pays dit riche.. Mais comme ca, misérables je n'avais pas connu..

    La petite histoire est que cette africaine  avait des mômes n'ayant rien à se mettre sous la dent.. de véritaBles tas d'os s'éteignant lentement sur des nattes en osier, sans un mot.. aucune force pour le faire d'ailleurs.. jetés dans un baraquement de bric et de broc aux tôles ondulées sans couleur sur les murs.. carré morbide tenu par d'autres femmes mêlées à d'autres enfants..

    Des chiens galeux côtoyaient des rats en plein jour.. l'un ne chassait plus l'autre.. une trêve entre carnassiers sans les hommes.. Il s'en passe des choses derrière la ligne rouge dite imaginaire et dont certains ont disparu..

    Soleil blanc sur un peuple noir.. les dauphins sont revenus.. les ventres repus, gris et striés de veines.. des tâches noirâtres sur la gueule.. ils filaient et tournaient sur eux-mêmes pour mieux contempler notre béatitude, certainement.. les dauphins connaissaient peut-être cette histoire.. l'océan lui, n'a pas bougé.. aucune ride sur cette eau dite d'huile.. rien n'avait été troublé.. comme à mon arrivée.

    de l'autre côté du désastre)) ------ texte mis en valeur pour eux.. ceux que je n'ai pas connu -----






    bAsTaRdS

    07/12/2007 22:11

    bAsTaRdS


    .. à quelques lunes de là, non loin de l'enfer; les hommes.....

    des soirées de bourges étaient organisées.. triées sur le volet les convives étaient.. robes de soirée pour les dames, costumes pour les amants.. des soirées en compagnie des élus locaux, des chefs de tribu, préfets, ambassadeurs, officiers.. toutes ces grosses huiles étaient parfaitement belles, suintant d'hypocrisie, rôdés pour ca aussi.. les belles manières à l'européenne étaient visibles.. les politesses ne s'arrêtaient pas.. les compliments non plus.. ces mêmes personnes devaient péter en cachette ou se tordre de rire pour ne pas être entendus tant la situation du moment était crispée .. Les tables étaient pleines à craquer non loin des misères que la terre portait à bout de bras.. vu de mes yeux, vu.

    Les indigènes portaient tant bien que mal des plateaux chargés de victuailles jusqu'aux bouches des bastards.. leurs frères crevant depuis des lustres.. ca me fait sourire parce que rien n'a changé.. Les serviteurs de l'état, eux, étaient aux anges. Leurs putes étaient toutes très jolies et très connes aussi.. putes anglaises, françaises, éthiopiennes attirant les mâles dans des toiles, d'araignées.. putes aux corps sentant le souffre.. la maladie courait déjà..

    Elles rêvaient, entraînées pour le faire, sur les uniformes frôlant en gloussant de joie les queues tendues.. Les guignols de service, nous en l'occurence, postés non loin de ces partouZes payées rubis sur ongle par ce pays la france, mon pays.

    Nous attendions tapis dans l'ombre que les coupes se posent.. excellant par de formidables tours de prestidigitateurs, nous détournions celles-çi et les contenus finissaient ailleurs que dans les gueules de ces politicards.. les coupes revenaient ainsi vides vers ces acquéreurs de paille par d'autres chemins tortueux comme leurs affaires d'ailleurs.. ils parlaient de chose et d'autre sans s'apercevoir que les impôts de la République avaient quelque peu servis à rafraîchir une bande de jeunes dans ce coin de merde entouré de sable et de caillasses.. interdiction de s'approcher de ces tables remplies avec abondance par mon pays.

    Pour le plus grand bonheur de quelques misérables, de la bouffe en vrac avait été pillée par ces même jeunes d'ailleurs.. à l'insu de ces mêmes queutards représentant la france et jouissant de leur bonne conduite.. pour un temps ils avaient mangé à leur faim; les autres....... "...Somalie...'   






    divine réalité

    07/12/2007 22:10

    divine réalité



    Hé m'siou ! hé m'siou ! tu viens ?

    euuuhh ! Oui ! J'suis là, je viens !

    d'un pas vraiment mais vraiment pas pressé je m'approchais de l'inconnu pour deviner qu'il s'agissait d'un chauffeur de véhicule d'un temps révolu à bord duquel il m'attendait..

    un taxi peint à la taloche de plusieurs couches de peinture semblant fondre sous le soleil.. je précise, 55 degrés à l'ombre.. une fois assis à l'intérieur enfin, debout, je me demandais si là-bas en france on avait déjà vu de pareilles choses.. pas dans mon quartier en tous les cas.. j'éclatais de rire, insouciant de savoir où j'allais, sans direction précise et peu importe qui me conduisais.. heureux, dans un pays en guerre, inconcevable je sais.

    A bord de la machine, se trouvaient des peaux d'animaux, des dents de requins se balancant sur un miroir, l'unique miroir d'ailleurs.. une odeur de cadavre en décomposition à l'intérieur.. ma tête heurtait le pavillon à chaque fois qu'il évitait un quelconque animal.. d'énormes trous obligeaient ce pilote d'une ère inconnue, à prendre d'autres directions sous peine d'y crever, lui, moi, et sa.. machine.

    Mon chauffeur, lèvres retroussées au vent, chicots en avant, heureux comme un pape, chantait en tapant dans ses mains.. pas de vitres, pas de poignées, des portes claquantes à chaque fois que l'engin voulait décoller de terre, partir ailleurs qu'ici.. un volant, une caisse, un moteur.. de marque inconnue.. heu, si ! j'avais aperçu un sigle d'une firme automobiles plaquée sur une tôle en décomposition replaquée elle-même sur une couche de trois ou quatre tôles soudées je sais pas comment.. ce signe qui me rappelait mon pays la france.. je me dis qu'au fond on était pas si mauvais que ca.






    AlpHaBeT

    07/12/2007 22:09

    AlpHaBeT


    Des jours comme ca mes mots reviennent je les compte sur le bout des doigts pour savoir,

    les maquille d'or fin pour les voir..

    Il y a des jours comme ca où minuscules n'ai pu les distinguer majuscules ne peux que les contempler,

    y a des jours comme ca lorsque l'aurore paraît chargée d'ivresse remplies de phrases maladroites devenant obscurité de tant de beauté,

    y a des jours comme ca soulevant la poussière des cahiers aux lignes striées de maux des lettres résonnantes éparpillées sur des dalles de pierre dévêtues de tout secrets mise à nu perçant tant de mystère,

    y a des jours comme ca ronde chatoyante aux sons de jouvence cette ritournelle sans fin enveloppe ces instants, mon ambiance,

    y a des jours comme ca irisant les cours de récré ma joie étant de griffonner jadis, saisissant répit juste troublé par un mot d'amour sous ce préau le coeur haletant devant la désirée,

    y a des jours comme ca où m'en aller je ne devrais sans tenter de les emprisonner.






    TransWatt

    07/12/2007 22:08

    TransWatt


    .. amoureux d'elle, elle est fibre optique.. je reste accoustique.. De bleu elle se faufile comme l'éclair.. électrocutant ce pauvre ère.. nue, finement vêtue de Web, elle SurF de résistance.. Fusibles de nuit comme de jour, son souffle exasPère mes composites.. Ma basse énergiE, temporisée, se dilapide de réseau en réseau.. Champs magnétiques appauvris en silicium.

    Elle rit de ses Richesses électrostatiques.. connectant mon corps de ses mains l'isolant ainsi entre deux pratiques, électroniques.. Sa voix cuivrée d'alu, si flux en visuelle et de son numérique.. Elle est ADSL, suis méga d'elle.. Ses mots noirs sur fond blanc sentent bon l'électron.. l'embrasser serait détruire mon capillaire.

    Poursuivons ce fil conducteur et restons Lithium. Sans prises.. de têtes.






    pAriA

    07/12/2007 22:08

    pAriA


    Ceci est mon ar-en-ciel, je te l'offre..

    mon moi.. savoir d'un type sans faille, il dit en suspend, j'use d'ALchimie dans un coin de ma mémoire.

    Je suis virgule, point de Prononciation.. d'interrogation sur ta Façon.. émanant de toi.. ton Aura.

    J'Ai des histoires à distilleR parmis les plus vamPs, les plus chaudes, les plus connes.

    Enivre toi de ce nectar.. si.. si.. burLeSQue.. il y a de quoi dans ce grenier.. En échange, car il y a éChange, appose tes mains sur ma chaiR.

    Arc-boute ce Corps.. et verse danS mes veines cette effervescence si proche de tes battemenTs.. que je m'en abreuve.. m'en imprègne.. régénérant ainsi mon avenir.. sur une autre hémisPhère,

    à l'Aurore je PLanerais....








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